Giacomo Leopardi
Disgracieux, de santé fragile, Leopardi fut très tôt hanté par la mort. Poète de l'infelicità, il refusa néanmoins d'être assimilé aux poètes romantiques (Discours sur la poésie romantique, 1818). Il laissa aussi le Zibaldone, un journal philosophique posthume (1900).