Jôji Tani
Tani Jôji (1900-1935) occupe une place paradoxale dans la littérature japonaise : largement oublié aujourd’hui, il était incontournable dans les années 1920 et 1930. Son œuvre polymorphe (nouvelles modernistes, romans historiques, mélodrames familiaux, récits humoristiques, traductions) fait de cet écrivain un des symboles de la vitalité de la littérature populaire japonaise de l’entre-deux-guerres.