Les Aztèques

AVANT-PROPOS

I. LA VALÉE DE MEXICO AVANT LES AZTÈQUES

Une Nature fortement contrastée, difficile, souvent hostile, des populations longtemps mouvantes, aux langues très diverses, et pourtant assez de traits culturels communs pour favoriser l'émergence et l'épanouissement de modèles de civilisation placés d’emblée sous le signe des dieux.

La Mésoamérique
Milieu géographique et humain
Premiers établissements
Teotihuacan
Tollan
Une brève histoire
Tula « Mère des Arts, des Armes et des Lois »
Chronologie aztèque

II. L’HISTOIRE DES AZTÈQUES

La pénible ascension des derniers « parvenus ». Comment revendiquer deux héritages contradictoires et les faire cohabiter harmonieusement, sous l’égide de divinités toujours plus exigeantes !

Aztlan, berceau des tribus chichimeca
Les Azteca-Mexica
Fondation de Tenochtitlan
L’ascension des Azteca-Mexica
Tenochtitlan à la veille de la Conquête espagnole

III. L’ORGANISATION POLITIQUE ET SOCIALE

Où rien ne semble confié au hasard. Vers un État centralisé et bureaucratique, laissant toutefois paraître ses limites. Une société en apparence très différenciée, mais moins statique qu’on ne le pensait naguère encore.

L’organisation politique
L’organisation sociale

IV. LA GUERRE, LES GUERRIERS ET L’EMPIRE

Une « culture de guerre » répondant aux attentes Huitzilopochtli,  le dieu tribal, et aux exigences économiques et de prestige d’une société en pleine expansion, édifiant trop vite un Empire aux structures à la fois fragiles et oppressantes, dont Cortés saura utiliser les faiblesses.

L’impératif militaire
L’Empire

V. L’ÉCONOMIE

Le système économique était soumis à un ensemble de contraintes et d’obligations, à l’image de l’organisation politique et/ou sociale. Les Mexica surent néanmoins, malgré le handicap représenté par l’absence de bêtes de somme, développer une économie de marché à double courant.

L’agriculture
Tribut Impérial
L’assiette de l’impôt
Perception des tributs
Destination du tribut
Le commerce au loin
La monnaie - Les modes de paiement
Les marchés

VI. LE TEMPS

Une des préoccupations majeures du monde mésoaméricain. Un 5e Soleil, qui vient à point servir les intérêts et les ambitions des Mexica.

Temps cosmogonique, mythique, cyclique
Le comput du Temps

VII. LA RELIGION

Les Espagnols ont surtout retenu les aspects monstrueux et sanguinaires de la religion aztèque. L’époque moderne tendrait plutôt à les estomper, mettant l’accent sur la richesse symbolique des mythes, sur le caractère tragique de cette « vision du Monde ». Obligés des dieux, les hommes doivent en contrepartie leur fournir l’énergie indispensable pour que se maintienne l’univers.

Origines diverses des dieux aztèques
Le concept de Teotl
Complexe des dieux créateurs
Tezcatlipoca
Xiuhtecuhtli
Dieux de la pluie et de la fertilité
Tlaloc - Chalchiuhtlicue et divinités affines
Déesses associées à la Terre-Mère
Autres divinités de la Fertilité
Dieux stellaires, de la guerre et du Sacrifice humain
Quetzalcoatl
Les rites et le cycle liturgique
Les fêtes mobiles
La divination

VIII. LA LITTÉRATURE

Malgré des destructions considérables et des modes de consignation et d’expression presque insaisissables pour des hommes du XVIe siècle, nous sommes désormais en mesure de pénétrer plus en profondeur la pensée indigène et le monde dans lequel elle se mouvait, grâce à une meilleure connaissance des textes en langue nahuatl, à l’étude systématique des manuscrits pictographiques et des survivances relevées dans des communautés indigènes.

La langue nahuatl
Chroniqueurs espagnols
Chroniqueurs indigènes et documents anonymes
La poésie
Les manuscrits pictographiques ou códices
Les códices

IX. LES ARTS

Dans ces domaines aussi, les destructions, donc l’ignorance, ne sont que partiellement compensées par les fouilles archéologiques et les descritpions des conquistadors.

L’architecture
La sculpture
Métallurgie & orfèvrerie
La plumasserie
Les tissus
La céramique
La peinture
Musique, chants, danses

X. LA VIE QUOTIDIENNE

Sujet essentiel, mais souvent négligé : la vie d’un « macehual » et sa hutte ne méritent guère le détour, mais, pour lui comme pour les dignitaires, l’éducation, les occupations semblaient laisser peu de place à la fantaisie. Tout comme le destin d’un individu était largement dominé par son signe de naissance, de même son sort post mortem était-il déterminé par le genre de mort que lui avaient réservé les divinités.

La famille nucléaire
Le cycle de la vie
Le baptême - l’imposition du nom
L’éducation
Le mariage
Le vêtement - La parure
La cuisine
Les divertissements : Tlachtli et Patolli
La médecine - La maladie
La mort - Déstinées post mortem